Conseils Travail en Australie : faites vous recruter après vos études

CIDJ CIDJ
Publié le 20-12-2011

En bref

  • Aujourd’hui, l’Australie n’accepte plus de main-d’œuvre non qualifiée. Vos qualifications spécifiques et votre bonne maîtrise de l’anglais sont donc déterminantes pour trouver du travail en Australie.
Credits_RonnyK_Pixabay.jpg
Travail en Australie : faites vous recruter après vos études Crédit : Pixabay

Renseignez-vous d'abord sur le marché de l’emploi afin de connaître vos chances d’intéresser un employeur australien. Ensuite, rédigez votre CV en anglais et consultez les offres.

Appelé résumé en anglais, votre CV doit être traduit en anglais. Appliquez-vous bien : la qualité rédactionnelle est aussi importante que le contenu !

Votre CV doit comporter :

- vos coordonnées personnelles (nom, adresse, téléphone, courriel) ,
- votre objectif : vous devez expliquer de façon claire et rapide les raisons qui font de vous le meilleur candidat pour l’emploi en question ,
- votre expérience professionnelle ,
- vos études ,
- vos formations et projets individuels ou associatifs ,
- vos références (contacts de vos anciens employeurs).

Vous ne devez indiquer ni votre état civil, ni votre âge, ni votre nationalité, ni joindre de photographie. Il est aussi déconseillé d’envoyer des candidatures spontanées.

Le ministère des affaires étrangères propose un guide de l’expatriation pour bien préparer son départ à l’étranger.

Le Pôle emploi international organise des ateliers d’aide à la rédaction de CV en anglais. Contactez-le pour connaître les dates.

[jmedia:40900 large]

 

Si vous étudiez en Australie pendant deux ans et que vous obtenez votre diplôme (bachelor ou master) il existe le post study work visa qui vous permet de rester sur le territoire australien et de travailler pendant deux ans après vos études.

Nous rencontrer Nous rencontrer

Le réseau Info jeunes est accessible à tous les publics (collégiens, lycéens, étudiants, salariés, demandeurs d'emploi...) mais aussi à leurs parents, à leurs enseignants et à tous les travailleurs sociaux. L'accès est libre et gratuit.